H2V, développeur de projets dans l’hydrogène, prévoit de s’implanter dans la zone logistique et industrielle raccordée à la Moselle.
L’Europort de Thionville semble proche de concrétiser sa seconde implantation. Après le transporteur-logisticien Chevallier, qui a pris 55 hectares l’automne dernier, la société H2V a signé ce printemps un compromis pour l’achat de 31 hectares avec le syndicat mixte E-log in 4, aménageur de la zone de 185 hectares connectée à la Moselle canalisée.
Celle-ci pourrait ainsi accueillir l’une des quatre "gigafactory" d’hydrogène que vise en France la société de développement et d’investissement propriété d’Alain Samson, par ailleurs propriété de Malherbe Transports.
L'unité de l'Europort est prévue d’une puissance de 100 mégawatts de façon à produire 56.000 tonnes d’hydrogène par an. La mise en service est visée en 2026 et l’objectif de création de 120 emplois directs a été annoncée par H2V.
Avitaillement pour le fret routier
Le projet consiste à alimenter une station d’avitaillement pour le transport routier de marchandises, ainsi que d'autres vecteurs de la mobilité lourde (bus, bennes de ramassage de déchets…), en captant le trafic dans un rayon de 200 kilomètres qui inclut notamment l'A31 de Nancy à Luxembourg.
Sa localisation bord à eau rend également possible l'expédition d’hydrogène vers d’autres ports, un potentiel qui a également justifié l’intérêt d’H2V pour l’Europort.
La société porte également le projet d’implanter une autre gigafactory au bord du Rhin, sur l’emprise du port de Colmar-Neuf-Brisach. Il prospecte la zone d’activités EcoRhéna qui va prochainement s’aménager pour assurer la reconversion du territoire de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin).
Celle-ci pourrait ainsi accueillir l’une des quatre "gigafactory" d’hydrogène que vise en France la société de développement et d’investissement propriété d’Alain Samson, par ailleurs propriété de Malherbe Transports.
L'unité de l'Europort est prévue d’une puissance de 100 mégawatts de façon à produire 56.000 tonnes d’hydrogène par an. La mise en service est visée en 2026 et l’objectif de création de 120 emplois directs a été annoncée par H2V.
Avitaillement pour le fret routier
Le projet consiste à alimenter une station d’avitaillement pour le transport routier de marchandises, ainsi que d'autres vecteurs de la mobilité lourde (bus, bennes de ramassage de déchets…), en captant le trafic dans un rayon de 200 kilomètres qui inclut notamment l'A31 de Nancy à Luxembourg.
Sa localisation bord à eau rend également possible l'expédition d’hydrogène vers d’autres ports, un potentiel qui a également justifié l’intérêt d’H2V pour l’Europort.
La société porte également le projet d’implanter une autre gigafactory au bord du Rhin, sur l’emprise du port de Colmar-Neuf-Brisach. Il prospecte la zone d’activités EcoRhéna qui va prochainement s’aménager pour assurer la reconversion du territoire de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin).