En signant leur partenariat "fer/fleuve", VNF et SNCF Réseau déclinent pour les Hauts-de-France la convention signée au niveau national quelques mois plus tôt.
Contribuer à la transition énergétique et promouvoir le report modal vers les modes massifiés fluvial et ferroviaire, c'est l'objectif de l'engagement officialisé en janvier entre Voies navigables de France et SNCF Réseau. Le 11 octobre sur la plateforme de Dourges Delta 3, les directions territoriales des deux entités publiques dans les Hauts-de-France ont scellé sa déclinaison dans cette région.
"Le protocole est un moyen de montrer un réel engagement pour le développement des deux modes. Nous partageons des valeurs communes, nous avons des clients communs, a commenté Nathalie Darmendrail, directrice territoriale de SNCF Réseau Hauts-de-France. Nos réseaux sont déterminants pour le développement économique".
Pour Marie-Céline Masson, directrice territoriale de VNF, ce "partenariat opérationnel pour le développement des trafics intermodaux" est "une alliance stratégique qui se veut opérationnelle et efficace. Nous avons lancé un travail en commun entre les deux directions territoriales pour déterminer les priorités et les actions avant de signer le protocole. Une dynamique commune est engagée".
Favoriser le report d'un mode vers l'autre
Les deux responsables ont rappelé que ce partenariat est la déclinaison régionale de la convention signée fin janvier 2021 entre les deux établissements au niveau national et dont l’ambition est de contribuer à la transition énergétique en promouvant ensemble le report modal vers les deux modes massifiés.
Concrètement, le protocole signé fixe un cadre de réflexion et d’actions aux deux parties pour les deux prochaines années. "Le travail commun vise à mettre en œuvre une démarche commerciale coordonnée, en lien avec les chargeurs, en identifiant des conditions d’émergence d'une offre répondant aux besoins de ceux-ci, déclinés dans un document pédagogique commercial partagé".
Ente autres actions, les partenaires prévoient d'identifier les complémentarités entre les réseaux ferrés et fluviaux, promouvoir les auprès des chargeurs et des logisticiens ou encore faire en sorte de de proposer des solutions de substitution d’un mode à l’autre en période de travaux.
Identifier les interconnexions
L'entreprise et l'établissement publics souhaitent d'autre part mettre en place une cartographie numérique des interconnexions entre réseaux et plateformes fluviales, ferroviaires et portuaires et partager les possibilités d'échanges fonciers entre les deux structures au bénéfice du report modal. Les deux directions territoriales entendent aussi "bâtir une approche commune sur les grands projets, autour de l'axe Seine-Escaut".
"Le protocole est un moyen de montrer un réel engagement pour le développement des deux modes. Nous partageons des valeurs communes, nous avons des clients communs, a commenté Nathalie Darmendrail, directrice territoriale de SNCF Réseau Hauts-de-France. Nos réseaux sont déterminants pour le développement économique".
Pour Marie-Céline Masson, directrice territoriale de VNF, ce "partenariat opérationnel pour le développement des trafics intermodaux" est "une alliance stratégique qui se veut opérationnelle et efficace. Nous avons lancé un travail en commun entre les deux directions territoriales pour déterminer les priorités et les actions avant de signer le protocole. Une dynamique commune est engagée".
Favoriser le report d'un mode vers l'autre
Les deux responsables ont rappelé que ce partenariat est la déclinaison régionale de la convention signée fin janvier 2021 entre les deux établissements au niveau national et dont l’ambition est de contribuer à la transition énergétique en promouvant ensemble le report modal vers les deux modes massifiés.
Concrètement, le protocole signé fixe un cadre de réflexion et d’actions aux deux parties pour les deux prochaines années. "Le travail commun vise à mettre en œuvre une démarche commerciale coordonnée, en lien avec les chargeurs, en identifiant des conditions d’émergence d'une offre répondant aux besoins de ceux-ci, déclinés dans un document pédagogique commercial partagé".
Ente autres actions, les partenaires prévoient d'identifier les complémentarités entre les réseaux ferrés et fluviaux, promouvoir les auprès des chargeurs et des logisticiens ou encore faire en sorte de de proposer des solutions de substitution d’un mode à l’autre en période de travaux.
Identifier les interconnexions
L'entreprise et l'établissement publics souhaitent d'autre part mettre en place une cartographie numérique des interconnexions entre réseaux et plateformes fluviales, ferroviaires et portuaires et partager les possibilités d'échanges fonciers entre les deux structures au bénéfice du report modal. Les deux directions territoriales entendent aussi "bâtir une approche commune sur les grands projets, autour de l'axe Seine-Escaut".