Lors d’une exportation, la Chambre de commerce internationale préconise les incoterms FCA ou DAP et bannit Ex Works et DDP. Et pour maximiser un passage douanier sans écueil, l’exportateur ou son représentant doit apporter une attention particulière à la valeur, l’origine et la nomenclature des marchandises.
Tous les dix ans environ, la Chambre de commerce internationale (ICC) procède à une mise à jour des incoterms. "La prochaine actualisation interviendra en 2020", précise Christoph-Martin Radtke de l’ICC France lors d’une conférence SITL tenue le 26 mars sur les écueils à éviter lors d’une expédition à l’international.
En attendant, ce sont donc les onze incoterms définis dans la version 2010 qui s’appliquent. À l’exportation, leur utilisation dépend "des marchandises vendues, du mode de transport, de la compétence logistique du vendeur et du pays de destination". Sur cette base, le FCA (Free Carrier ou Franco transporteur) et le DAP (Delivered at Place ou Livraison au lieu convenu) sont à privilégier, selon l’ICC.
En attendant, ce sont donc les onze incoterms définis dans la version 2010 qui s’appliquent. À l’exportation, leur utilisation dépend "des marchandises vendues, du mode de transport, de la compétence logistique du vendeur et du pays de destination". Sur cette base, le FCA (Free Carrier ou Franco transporteur) et le DAP (Delivered at Place ou Livraison au lieu convenu) sont à privilégier, selon l’ICC.