CMA CGM a posé la première pierre de son nouveau centre de formation et de recherche à Marseille. Le groupe attribue à ce pôle une vocation multimodale et logistique, sans oublier le spatial.
Après avoir réalisé quelques investissements dans d'autres secteurs que son métier d'origine, le groupe CMA CGM s'engage cette fois-ci résolument dans la formation. À cet effet, il a lancé à Marseille la construction d'un centre international qui sera également dédié à la recherche et à l'innovation.
Implanté sur le site de l'École nationale supérieure maritime (ENSM), ce centre, baptisé Tangram, proposera des locaux d'une superficie de 3.000 m2 sur quatre niveaux conçus par l'architecte Jean-Michel Wilmotte.
Destiné à accueillir 90 personnes par jour, ce pôle, dont l'ambition est sans grande surprise internationale, ne se limitera à la formation maritime. Il opérera en synergie avec l'ENSM existante, en mettant à disposition des étudiants trois simulateurs de navigation. Pour autant, le groupe lui accorde une vocation multimodale.
Conformément au souhait de Rodolphe Saadé, le PDG du groupe français, Tangram reposera sur deux piliers : "l'engagement et le professionnalisme d'une part, l'innovation, tout en préservant l'environnement, d'autre part".
Une dimension multimodale
Tangram sera impliqué également dans le routier, l'aérien et la logistique, a-t-il précisé. Signes que l'innovation fait partie du cahier des charges qui lui a été attribué, la décarbonation et surtout le spatial feront en effet partie du programme de formation et de recherche du centre, a ajouté le PDG de CMA CGM.
Le groupe aura recours pour ce centre à des professionnels mais aussi à l'enseignement supérieur (Kedge et Aix-Marseille Université, notamment) et à des chercheurs pour animer les cours et "conduire les travaux d'innovation pour les solutions de demain".
Le pôle, qui intègrera l'université de CMA CGM, sera ouvert aux salariés de l'entreprise et de ses filiales mais également à ses clients et partenaires. Il pourra décerner des diplômes reconnus par l'État.
Un centre bienvenu pour le ministre chargé des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, puisque l'opération s'inscrit bien dans le droit fil de la politique gouvernementale actuelle visant à doubler les effectifs navigants d'ici 2027.
Après trois ans de travaux sur le site, Tangram, qui intégrera le bâtiment historique de l'ENSM, sera opérationnel au début de l'année 2024.
Implanté sur le site de l'École nationale supérieure maritime (ENSM), ce centre, baptisé Tangram, proposera des locaux d'une superficie de 3.000 m2 sur quatre niveaux conçus par l'architecte Jean-Michel Wilmotte.
Destiné à accueillir 90 personnes par jour, ce pôle, dont l'ambition est sans grande surprise internationale, ne se limitera à la formation maritime. Il opérera en synergie avec l'ENSM existante, en mettant à disposition des étudiants trois simulateurs de navigation. Pour autant, le groupe lui accorde une vocation multimodale.
Conformément au souhait de Rodolphe Saadé, le PDG du groupe français, Tangram reposera sur deux piliers : "l'engagement et le professionnalisme d'une part, l'innovation, tout en préservant l'environnement, d'autre part".
Une dimension multimodale
Tangram sera impliqué également dans le routier, l'aérien et la logistique, a-t-il précisé. Signes que l'innovation fait partie du cahier des charges qui lui a été attribué, la décarbonation et surtout le spatial feront en effet partie du programme de formation et de recherche du centre, a ajouté le PDG de CMA CGM.
Le groupe aura recours pour ce centre à des professionnels mais aussi à l'enseignement supérieur (Kedge et Aix-Marseille Université, notamment) et à des chercheurs pour animer les cours et "conduire les travaux d'innovation pour les solutions de demain".
Le pôle, qui intègrera l'université de CMA CGM, sera ouvert aux salariés de l'entreprise et de ses filiales mais également à ses clients et partenaires. Il pourra décerner des diplômes reconnus par l'État.
Un centre bienvenu pour le ministre chargé des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, puisque l'opération s'inscrit bien dans le droit fil de la politique gouvernementale actuelle visant à doubler les effectifs navigants d'ici 2027.
Après trois ans de travaux sur le site, Tangram, qui intégrera le bâtiment historique de l'ENSM, sera opérationnel au début de l'année 2024.