À Calais, un camion sur cinq fait l'objet d'un contrôle plus précis que les autres, dont l'essentiel par manque d'anticipation dans les formalités douanières, a indiqué le 14 janvier Olivier Dussopt, ministre français des Comptes publics alors que le trafic transmanche semble s'être normalisé.
"Depuis le début de l'année le trafic était bas, à 1.500 camions par jour alors que la moyenne est entre 5.000 et 6.000. Nous en approchons. Et hier par exemple, il y avait presque 4.000 camions franchissant la frontière", a affirmé le ministre avant d'ajuter : "La grande majorité des camions qui sont arrêtés à la douane c'est tout simplement parce que l'entreprise n'a pas procédé aux opérations de dédouanement préalable."
Avec la sortie du Royaume-Uni du marché commun européen, les échanges entre les pays de l'Union européenne et le Royaume-Uni sont désormais assimilés à des importations et exportations et donc soumis à un certain nombre de nouvelles règles. Les entreprises doivent s'imposer des formalités douanières en amont du transport de leurs marchandises afin de passer la nouvelle frontière.
En anticipation de ces nouvelles contraintes, nombre d'entreprises avaient intensifié les échanges avec le Royaume-Uni avant le 31 décembre et le trafic restait considérablement ralenti depuis le début de l'année.
"Depuis le début de l'année le trafic était bas, à 1.500 camions par jour alors que la moyenne est entre 5.000 et 6.000. Nous en approchons. Et hier par exemple, il y avait presque 4.000 camions franchissant la frontière", a affirmé le ministre avant d'ajuter : "La grande majorité des camions qui sont arrêtés à la douane c'est tout simplement parce que l'entreprise n'a pas procédé aux opérations de dédouanement préalable."
Avec la sortie du Royaume-Uni du marché commun européen, les échanges entre les pays de l'Union européenne et le Royaume-Uni sont désormais assimilés à des importations et exportations et donc soumis à un certain nombre de nouvelles règles. Les entreprises doivent s'imposer des formalités douanières en amont du transport de leurs marchandises afin de passer la nouvelle frontière.
En anticipation de ces nouvelles contraintes, nombre d'entreprises avaient intensifié les échanges avec le Royaume-Uni avant le 31 décembre et le trafic restait considérablement ralenti depuis le début de l'année.