L’association des chargeurs d’Alsace invite à participer aux enquêtes de terrain qui accompagnent une relance de l’activité paraissant effective.
L’assemblée générale annuelle de l’Acuta (Association des chargeurs et utilisateurs de transport en Alsace), qui s'est déroulée au début de l’été, a mis en exergue la bonne santé de l’association. Le nombre de ses adhérents est passé de 45 à 75 depuis le déclenchement de la crise sanitaire. Ce qui l’a confortée dans son statut de première représentation régionale de l’AUTF. "Sans doute nos réactions rapides à la crise avec des informations flash, la mise en place de webinars et plus généralement le développement, par les circonstances, des services d’échanges à distance (visioconférences) ont contribué à cette progression", avance Jean-Marc Rohlmann, président de l’Acuta.
Mais rien ne remplaçant la rencontre en chair et en os, c’est donc avec plaisir que les membres se sont retrouvés dans une même salle à Sélestat (Bas-Rhin) pour l’assemblée générale. La Dreal (direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) Grand Est y a annoncé le lancement cet automne d’une "Conférence régionale fret et logistique".
Sa restitution prévue en avril prochain sera préparée par cinq ateliers de travail pour les professionnels d’octobre prochain à février 2023, sur les thèmes du système logistique régional (dans le contexte de relocalisation d’activités), des infrastructures face à des signes de leur vieillissement, de la transition écologique, du foncier et espaces logistiques à l’heure de leur raréfaction et de la mise en œuvre du zéro artificialisation nette des sols (ZAN), et enfin des ressources humaines autour de la question récurrente de l’attractivité des métiers. "Face à la demande croissante, nous courons le risque d’une sous-capacité de transport en Alsace", appuie Jean-Marc Rohlmann.
Création d'un baromètre des flux
L’Acuta invite ses membres à participer à une autre initiative en démarrage : l’établissement d’un "baromètre des flux maritimes et continentaux au départ et à l’arrivée de l’Alsace", qu’elle lance avec les ports de Strasbourg et de Marseille-Fos.
Le document invite les professionnels, en premier lieu les chargeurs, à renseigner leurs volumes annuels et trimestriels de conteneurs pleins d’une part, de caisses mobiles, citernes et semi-remorques d’autre part pour les flux continentaux. Quels sont les ports maritimes d’origine et de destination, qui les a choisis et pourquoi, quels sont les ports intérieurs rhénans utilisés entre Bâle (Suisse) et Germersheim (Allemagne), quels modes de transport sont actionnés. Autant de questions qui doivent aider à adapter le mieux les politiques publiques aux pratiques et notamment à cerner les potentiels sur un axe Rhin-Rhône jusqu’à Marseille.
Mais rien ne remplaçant la rencontre en chair et en os, c’est donc avec plaisir que les membres se sont retrouvés dans une même salle à Sélestat (Bas-Rhin) pour l’assemblée générale. La Dreal (direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) Grand Est y a annoncé le lancement cet automne d’une "Conférence régionale fret et logistique".
Sa restitution prévue en avril prochain sera préparée par cinq ateliers de travail pour les professionnels d’octobre prochain à février 2023, sur les thèmes du système logistique régional (dans le contexte de relocalisation d’activités), des infrastructures face à des signes de leur vieillissement, de la transition écologique, du foncier et espaces logistiques à l’heure de leur raréfaction et de la mise en œuvre du zéro artificialisation nette des sols (ZAN), et enfin des ressources humaines autour de la question récurrente de l’attractivité des métiers. "Face à la demande croissante, nous courons le risque d’une sous-capacité de transport en Alsace", appuie Jean-Marc Rohlmann.
Création d'un baromètre des flux
L’Acuta invite ses membres à participer à une autre initiative en démarrage : l’établissement d’un "baromètre des flux maritimes et continentaux au départ et à l’arrivée de l’Alsace", qu’elle lance avec les ports de Strasbourg et de Marseille-Fos.
Le document invite les professionnels, en premier lieu les chargeurs, à renseigner leurs volumes annuels et trimestriels de conteneurs pleins d’une part, de caisses mobiles, citernes et semi-remorques d’autre part pour les flux continentaux. Quels sont les ports maritimes d’origine et de destination, qui les a choisis et pourquoi, quels sont les ports intérieurs rhénans utilisés entre Bâle (Suisse) et Germersheim (Allemagne), quels modes de transport sont actionnés. Autant de questions qui doivent aider à adapter le mieux les politiques publiques aux pratiques et notamment à cerner les potentiels sur un axe Rhin-Rhône jusqu’à Marseille.