Maersk a annoncé une progression de son bénéfice net de 63 % au troisième trimestre, tiré par la hausse des tarifs du fret maritime.
Le bénéfice net de Maersk, numéro deux mondial de la ligne maritime conteneurisée, s'élève à 8,9 milliards de dollars (environ 9 milliards d'euros) au troisième trimestre, contre 5,4 milliards de dollars sur la même période de 2021. Une progression de 63 %
Le chiffre d'affaires du groupe s'élève quant à lui à 22,8 milliards de dollars, soit une hausse de 37 % par rapport au troisième trimestre de l'année dernière. Depuis la deuxième moitié de l'année 2020, le groupe armatorial, qui se dispute la première place mondiale du secteur avec l'italien MSC, profite de la congestion du trafic maritime mondial.
Selon Maersk, le taux de fret moyen a augmenté de 42 % par rapport à la même période l'année dernière, porté par les expéditions depuis l'Asie vers l'Europe et les États-Unis. L'armateur note toutefois que les effets de la congestion du trafic maritime ont commencé à s'estomper à la fin du troisième trimestre du fait du retour progressif à une situation normale du marché.
"Les gains supplémentaires ont atteint leur maximum", indique le groupe dans son rapport, soulignant la baisse des taux du fret et l'affaiblissement de la demande, accompagné d'un début de normalisation du marché avec moins de problèmes sur la chaîne d'approvisionnement et une décongestion progressive du trafic maritime.
Le chiffre d'affaires du groupe s'élève quant à lui à 22,8 milliards de dollars, soit une hausse de 37 % par rapport au troisième trimestre de l'année dernière. Depuis la deuxième moitié de l'année 2020, le groupe armatorial, qui se dispute la première place mondiale du secteur avec l'italien MSC, profite de la congestion du trafic maritime mondial.
Selon Maersk, le taux de fret moyen a augmenté de 42 % par rapport à la même période l'année dernière, porté par les expéditions depuis l'Asie vers l'Europe et les États-Unis. L'armateur note toutefois que les effets de la congestion du trafic maritime ont commencé à s'estomper à la fin du troisième trimestre du fait du retour progressif à une situation normale du marché.
"Les gains supplémentaires ont atteint leur maximum", indique le groupe dans son rapport, soulignant la baisse des taux du fret et l'affaiblissement de la demande, accompagné d'un début de normalisation du marché avec moins de problèmes sur la chaîne d'approvisionnement et une décongestion progressive du trafic maritime.