Le groupement Adim, Caisse des dépôts et Vinci a remporté l’appel d’offres lancé par le Grand Port maritime de Marseille (GPMM) pour le réaménagement de la halle J1. L'opération est confiée au cabinet d'architectes Reichen & Robert.
Sur les 8 offres reçues par le Grand Port maritime de Marseille (GPMM) pour la reconversion de la halle J1, située à deux pas de la place de la place de la Joliette dans la Cité phocéenne, c’est le groupement immobilier Adim Provence, Vinci Constructions et la Caisse des dépôts et consignations qui a remporté la mise. Le 19 décembre 2018, le directoire de l’établissement portuaire a désigné ce consortium pour "un projet ambitieux", qui verra le jour en 2023, a indiqué le président du conseil de surveillance, Jean-Marc Forneri. Ce dernier a expliqué que le cabinet d’architecture Reichen & Robert a été désigné pour reconvertir le bâtiment conçu par la société Eiffel dans les années 1920. Un cabinet qui a déjà fait ses preuves puisqu’il a réhabilité notamment la Grande Halle de La Villette à Paris et les Docks Vauban au Havre.
Un investissement de 100 millions d'euros
"Le projet sera signé en mars 2019", a ajouté Jean-Marc Forneri, soulignant qu’une enveloppe de 100 millions d’euros serait consacrée à ce projet par le groupement lauréat et que la convention d’occupation temporaire est prévue pour une durée de 70 ans.
Le bâtiment, d’une surface 10.800 m2, situé à la clôture de l’emprise du port et de la ville, sera consacré à l’activité tertiaire. "Il ne comportera que très peu de commerces", indique le président du conseil de surveillance du GPMM.
Un investissement de 100 millions d'euros
"Le projet sera signé en mars 2019", a ajouté Jean-Marc Forneri, soulignant qu’une enveloppe de 100 millions d’euros serait consacrée à ce projet par le groupement lauréat et que la convention d’occupation temporaire est prévue pour une durée de 70 ans.
Le bâtiment, d’une surface 10.800 m2, situé à la clôture de l’emprise du port et de la ville, sera consacré à l’activité tertiaire. "Il ne comportera que très peu de commerces", indique le président du conseil de surveillance du GPMM.
