CGG a affiché une lourde perte nette au deuxième trimestre mais a confirmé ses objectifs pour 2019, satisfait notamment d'une situation financière "saine" et d'une "forte performance opérationnelle".
Le groupe parapétrolier français CGG tombe dans le rouge au deuxième trimestre mais confirme ses objectifs. La perte nette atteint 98 millions de dollars contre un bénéfice de 49 millions sur la même période un an plus tôt, a indiqué le groupe vendredi 26 juillet.
Dans le détail, les activités abandonnées affichent des pertes de 113,2 millions de dollars tandis que les activités poursuivies ont généré en revanche un bénéfice de 15,6 millions.
Le chiffre d'affaires a bondi de 34 % à 335,3 millions de dollars au deuxième trimestre, et suit la même tendance sur le premier semestre (+ 39 % à 606,7 millions de dollars).
Pour le premier semestre, le bénéfice opérationnel s'établit quant à lui à 71,2 millions de dollars, plus du double de l'an dernier (33,8 millions).
"Je me réjouis de la bonne performance opérationnelle de CGG ce premier semestre. Forts de ces performances encourageantes, nous confirmons nos objectifs pour l'exercice 2019", a expliqué Sophie Zurquiyah, directrice générale de CGG, en commentant les résultats.
En début d'année, le groupe avait indiqué s'attendre à une croissance "en ligne avec le marché".
Géoscience, études multi-clients et équipements
CGG avait annoncé en novembre un plan stratégique à horizon 2021 qui prévoit un recentrage sur les activités où il est en position de force : géoscience, études multi-clients et équipements.
En juin, il a annoncé un partenariat stratégique avec le prestataire norvégien de services de géophysique marine Shearwater GeoServices.
"Notre partenariat stratégique avec Shearwater constitue une étape-clé dans la transformation de CGG en une société faiblement capitalistique qui s'appuie sur ses collaborateurs, ses données et ses technologies, et nous sommes en bonne voie de finaliser cette transaction d'ici la fin de l'année", a indiqué Sophie Zurquiyah.
Comme le reste du secteur parapétrolier, l'entreprise de géosciences avait été mise en difficulté par la chute des cours du brut à partir de 2014.
Le groupe avait achevé en février 2018 un plan de restructuration financière. Il lui a permis de ramener sa dette à des niveaux plus soutenables et de poursuivre son activité malgré la grave crise traversée.
Sa dette nette s'est alourdie à 883,1 millions de dollars au premier semestre (sous les nouvelles normes comptables IFRS 16) contre 715,9 millions l'an dernier. Sans l'application de cette nouvelle norme, l'endettement net resterait presque stable à 740,7 millions de dollars.
Dans le détail, les activités abandonnées affichent des pertes de 113,2 millions de dollars tandis que les activités poursuivies ont généré en revanche un bénéfice de 15,6 millions.
Le chiffre d'affaires a bondi de 34 % à 335,3 millions de dollars au deuxième trimestre, et suit la même tendance sur le premier semestre (+ 39 % à 606,7 millions de dollars).
Pour le premier semestre, le bénéfice opérationnel s'établit quant à lui à 71,2 millions de dollars, plus du double de l'an dernier (33,8 millions).
"Je me réjouis de la bonne performance opérationnelle de CGG ce premier semestre. Forts de ces performances encourageantes, nous confirmons nos objectifs pour l'exercice 2019", a expliqué Sophie Zurquiyah, directrice générale de CGG, en commentant les résultats.
En début d'année, le groupe avait indiqué s'attendre à une croissance "en ligne avec le marché".
Géoscience, études multi-clients et équipements
CGG avait annoncé en novembre un plan stratégique à horizon 2021 qui prévoit un recentrage sur les activités où il est en position de force : géoscience, études multi-clients et équipements.
En juin, il a annoncé un partenariat stratégique avec le prestataire norvégien de services de géophysique marine Shearwater GeoServices.
"Notre partenariat stratégique avec Shearwater constitue une étape-clé dans la transformation de CGG en une société faiblement capitalistique qui s'appuie sur ses collaborateurs, ses données et ses technologies, et nous sommes en bonne voie de finaliser cette transaction d'ici la fin de l'année", a indiqué Sophie Zurquiyah.
Comme le reste du secteur parapétrolier, l'entreprise de géosciences avait été mise en difficulté par la chute des cours du brut à partir de 2014.
Le groupe avait achevé en février 2018 un plan de restructuration financière. Il lui a permis de ramener sa dette à des niveaux plus soutenables et de poursuivre son activité malgré la grave crise traversée.
Sa dette nette s'est alourdie à 883,1 millions de dollars au premier semestre (sous les nouvelles normes comptables IFRS 16) contre 715,9 millions l'an dernier. Sans l'application de cette nouvelle norme, l'endettement net resterait presque stable à 740,7 millions de dollars.