En Alsace, la voie d’eau obtient près de 60 millions d’euros de crédits, ils permettront la réalisation des projets portuaires prioritaires.
Dans le contexte budgétaire compliqué qui n’épargne pas l’Alsace, les transports ont plutôt bien tiré leur épingle du jeu des négociations du contrat de plan État-région. Avec un total de 511,7 millions d’euros, le volet «mobilités» capte 62 % des crédits du document 2015-2020.
À 57,7 millions d’euros, la voie d’eau reste minoritaire en volume en comparaison des 233 millions d’euros affectés aux routes et des 202 millions du ferroviaire. Mais elle a obtenu l’inscription de la quasi-totalité de ses souhaits, en tout cas les principaux. «Le nouveau contrat inclut nos priorités», confirme Didier Dieudonné, directeur général délégué du Port autonome de Strasbourg.
Outre 18,7 millions d’euros pour les infrastructures fluviales dont la modernisation des écluses de Gambsheim au nord de Strasbourg, les projets portuaires totalisent 39 millions d’euros. Les trois ports rhénans alsaciens en financeront 64,5 %. Mulhouse-Rhin obtient notamment des crédits le réaménagement d’une partie du site de Huningue (4 millions) ainsi que pour le terminal conteneurs et l’extension du terminal vrac d’Ottmarsheim. Colmar-Neuf Brisach contractualise 6 millions d’euros pour le renforcement de son offre multimodale et l’aménagement d’une plateforme.
Lauterbourg, la priorité
Enfin, cinq opérations d’un montant cumulé de 20,5 millions d’euros relèvent du Port autonome. À Strasbourg même, l’aménagement d’espaces pour les conteneurs vides optimiseront le fonctionnement des deux terminaux pour les boîtes pleines. Des aménagements ferroviaires vont fluidifier la circulation entre la gare du port et le terminal Nord, tandis qu’une première phase de travaux pour l’accessibilité routière de la zone Nord répondra aux prescriptions du nouveau PPRT (Plan de prévention des risques technologiques). La priorité des priorités reste l’aménagement du nouveau terminal de Lauterbourg. Son inscription pour 9 millions d’euros doit permettre sa réalisation courant 2015, condition préalable à la commercialisation de surfaces logistiques.
À 57,7 millions d’euros, la voie d’eau reste minoritaire en volume en comparaison des 233 millions d’euros affectés aux routes et des 202 millions du ferroviaire. Mais elle a obtenu l’inscription de la quasi-totalité de ses souhaits, en tout cas les principaux. «Le nouveau contrat inclut nos priorités», confirme Didier Dieudonné, directeur général délégué du Port autonome de Strasbourg.
Outre 18,7 millions d’euros pour les infrastructures fluviales dont la modernisation des écluses de Gambsheim au nord de Strasbourg, les projets portuaires totalisent 39 millions d’euros. Les trois ports rhénans alsaciens en financeront 64,5 %. Mulhouse-Rhin obtient notamment des crédits le réaménagement d’une partie du site de Huningue (4 millions) ainsi que pour le terminal conteneurs et l’extension du terminal vrac d’Ottmarsheim. Colmar-Neuf Brisach contractualise 6 millions d’euros pour le renforcement de son offre multimodale et l’aménagement d’une plateforme.
Lauterbourg, la priorité
Enfin, cinq opérations d’un montant cumulé de 20,5 millions d’euros relèvent du Port autonome. À Strasbourg même, l’aménagement d’espaces pour les conteneurs vides optimiseront le fonctionnement des deux terminaux pour les boîtes pleines. Des aménagements ferroviaires vont fluidifier la circulation entre la gare du port et le terminal Nord, tandis qu’une première phase de travaux pour l’accessibilité routière de la zone Nord répondra aux prescriptions du nouveau PPRT (Plan de prévention des risques technologiques). La priorité des priorités reste l’aménagement du nouveau terminal de Lauterbourg. Son inscription pour 9 millions d’euros doit permettre sa réalisation courant 2015, condition préalable à la commercialisation de surfaces logistiques.