Le ministre des transports avait commandé une étude à la présidente de Medlink Ports pour augmenter le report modal sur l’axe Rhône-Saône-Méditérannée. Il vient d’être rendu.
Cécile Avezard, présidente de Medlink Ports et directrice territoriale de VNF Rhône-Saône, a remis, le 27 juillet, son rapport pour dynamiser le transport fluvial au ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari.
Le texte propose soixante actions à l’État, aux membres de Medlink Ports – association qui regroupe les acteurs du transport maritime et fluvial du sud-est de la France – et aux collectivités du bassin Rhône-Saône-Méditérannée pour développer le report modal sur l’axe Rhône-Saône-Méditérannée.
Surcoût de la manutention fluviale au GPMM
Plusieurs axes de travail ont été déterminés : l’optimisation de la desserte fluviale du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), le développement de nouveaux trafics auprès des clients potentiels de l’axe, et l’accélération du verdissement de la logistique fluviale. Le développement de l’hydrogène décarboné devrait être, notamment, un point important. Concernant le port de Marseille, la question du surcoût de la manutention fluviale devrait aussi être centrale. Elle est depuis longtemps pointée du doigt par les acteurs de la filière.
Pour rappel, l’axe Rhône-Saône-Méditérannée pourrait accueillir quatre fois le trafic actuel sans modification des infrastructures existantes. Malgré une saturation du réseau routier, il est pourtant sur le déclin depuis 2014. Les conclusions du rapport seront mises en ligne le 13 septembre sur le site internet de Medlink Ports. Elles seront ensuite présentées au salon SITL
Le texte propose soixante actions à l’État, aux membres de Medlink Ports – association qui regroupe les acteurs du transport maritime et fluvial du sud-est de la France – et aux collectivités du bassin Rhône-Saône-Méditérannée pour développer le report modal sur l’axe Rhône-Saône-Méditérannée.
Surcoût de la manutention fluviale au GPMM
Plusieurs axes de travail ont été déterminés : l’optimisation de la desserte fluviale du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), le développement de nouveaux trafics auprès des clients potentiels de l’axe, et l’accélération du verdissement de la logistique fluviale. Le développement de l’hydrogène décarboné devrait être, notamment, un point important. Concernant le port de Marseille, la question du surcoût de la manutention fluviale devrait aussi être centrale. Elle est depuis longtemps pointée du doigt par les acteurs de la filière.
Pour rappel, l’axe Rhône-Saône-Méditérannée pourrait accueillir quatre fois le trafic actuel sans modification des infrastructures existantes. Malgré une saturation du réseau routier, il est pourtant sur le déclin depuis 2014. Les conclusions du rapport seront mises en ligne le 13 septembre sur le site internet de Medlink Ports. Elles seront ensuite présentées au salon SITL