Le Pouzin dispose toujours de place pour accueillir des entreprises. Seul port industriel d’Ardèche, la structure fait partie des 22 sites installés sur le fleuve par la compagnie nationale du Rhône (CNR). Inaugurée officiellement en juin 2019, cette structure dispose de 8 hectares ouverts à la commercialisation ainsi qu’un quai public et une plateforme de stockage de 3.000 m2 aménagée à l'arrière des lieux.
Une entreprise devrait bientôt installer une centrale de béton sur 6.200 m2, îlot n°5. Prévu au mois de mars, le dépôt du permis de construire a été retardé du fait de la crise du Covid-19. Il doit être déposé avant la fin de l’année.
Du fait de sa petite taille, Le Pouzin n’a pas la capacité d’accueillir des porte-conteneurs et se destine au vrac (BTP, céréales, matériaux à recycler, etc.). Les équipes de la CNR recherchent une entreprise engagée dans une démarche écoresponsable. "L’objectif n’est pas de remplir la zone, mais d’accueillir le bon projet", note Stéphanie Bard, chargée de développement économique à la CNR.
Les trois premiers îlots doivent impérativement accueillir des entreprises utilisant du fluvial. En attendant ces installations, le quai public peut toujours accueillir des entreprises, à leur demande. "Les infrastructures sont à disposition. À charge pour elles de trouver des prestataires pour réaliser la manutention", souligne la chargée de développement.
Un autre projet d’implantation d’une entreprise spécialisée dans la valorisation des déchets est à l’étude. À terme, le port pourrait accueillir cinq voire six entreprises.
Une entreprise devrait bientôt installer une centrale de béton sur 6.200 m2, îlot n°5. Prévu au mois de mars, le dépôt du permis de construire a été retardé du fait de la crise du Covid-19. Il doit être déposé avant la fin de l’année.
Du fait de sa petite taille, Le Pouzin n’a pas la capacité d’accueillir des porte-conteneurs et se destine au vrac (BTP, céréales, matériaux à recycler, etc.). Les équipes de la CNR recherchent une entreprise engagée dans une démarche écoresponsable. "L’objectif n’est pas de remplir la zone, mais d’accueillir le bon projet", note Stéphanie Bard, chargée de développement économique à la CNR.
Les trois premiers îlots doivent impérativement accueillir des entreprises utilisant du fluvial. En attendant ces installations, le quai public peut toujours accueillir des entreprises, à leur demande. "Les infrastructures sont à disposition. À charge pour elles de trouver des prestataires pour réaliser la manutention", souligne la chargée de développement.
Un autre projet d’implantation d’une entreprise spécialisée dans la valorisation des déchets est à l’étude. À terme, le port pourrait accueillir cinq voire six entreprises.