Les trois principales fédérations professionnelles européennes du transport ferroviaire se sont félicitées de la dernière communication européenne au sujet de ses objectifs de décarbonation.
Le 29 novembre, la Commission européenne a adopté une "vision stratégique à long terme" visant la neutralité carbone d'ici 2050. Il s'agit de fixer une ligne de conduite qui permettra d'atteindre l'objectif de l'accord de Paris "de maintenir l'accroissement de la température sous les 2 °C et de la contenir à 1,5 °C".
"Aujourd'hui, nous passons à la vitesse supérieure en proposant une stratégie qui doit permettre à l'Europe de devenir d'ici 2050 la première grande économie du monde à présenter un bilan neutre sur le plan climatique", a déclaré Miguel Arias Cañete, commissaire pour l'Action pour le climat et l'énergie. L'UE veut jouer un rôle moteur pour atteindre l'objectif global : "Pour que l'UE puisse mener le monde vers la neutralité climatique, cette neutralité doit être atteinte d'ici 2050".
Cette "vision couvre pratiquement toutes les politiques de l'UE", commente la Commission. Le transport est avec l'industrie l'un des deux secteurs les plus concernés car les plus émetteurs.
Augmenter la capacité ferroviaire
Sa commissaire, Violeta Bulc, a souligné la nécessité "d'une augmentation sensible de la capacité du réseau ferroviaire", prônant aussi "la production de véhicules à faibles émissions ou à émissions nulles, une organisation beaucoup plus efficace du système de transport fondée sur la numérisation, par des incitations aux changements de comportement, par la mise à disposition de carburants de substitution et d'infrastructures intelligentes et par des engagements globaux".
La CER (Communauté européenne des sociétés de transport et d'infrastructures ferroviaires), l'EIM qui représente les gestionnaires d'infrastructure et l'Unife les fournisseurs de l'industrie ferroviaire se sont réjouies de ces annonces. Les trois fédérations professionnelles européennes soutiennent que le rail est le mode le plus efficace d'un point de vue énergétique et le moins émetteur, jouant "un rôle crucial dans la décarbonation du transport".
Pour les acteurs du ferroviaire, "le rail se pose en colonne vertébrale du système de transport bas carbone multimodal en Europe". D'après eux, il est donc le meilleur atout pour atteindre l'objectif européen de 2011 de réduire de 60 % des GES en 2050 et le nouveau cap.
Le CER, l'EIM et l'Unife "exhortent les décideurs d'augmenter la part des modes faibles en émissions et de soutenir l'électrification du réseau ferré".
Ils appellent aussi la Commission à "continuer et intensifier" le soutien à la recherche et à l'innovation dans le ferroviaire, avec l'extension du programme Shift2Rail – plateforme de coopération européenne publique-privée – dans le cadre de la prochaine programmation 2021-2027.
"Aujourd'hui, nous passons à la vitesse supérieure en proposant une stratégie qui doit permettre à l'Europe de devenir d'ici 2050 la première grande économie du monde à présenter un bilan neutre sur le plan climatique", a déclaré Miguel Arias Cañete, commissaire pour l'Action pour le climat et l'énergie. L'UE veut jouer un rôle moteur pour atteindre l'objectif global : "Pour que l'UE puisse mener le monde vers la neutralité climatique, cette neutralité doit être atteinte d'ici 2050".
Cette "vision couvre pratiquement toutes les politiques de l'UE", commente la Commission. Le transport est avec l'industrie l'un des deux secteurs les plus concernés car les plus émetteurs.
Augmenter la capacité ferroviaire
Sa commissaire, Violeta Bulc, a souligné la nécessité "d'une augmentation sensible de la capacité du réseau ferroviaire", prônant aussi "la production de véhicules à faibles émissions ou à émissions nulles, une organisation beaucoup plus efficace du système de transport fondée sur la numérisation, par des incitations aux changements de comportement, par la mise à disposition de carburants de substitution et d'infrastructures intelligentes et par des engagements globaux".
La CER (Communauté européenne des sociétés de transport et d'infrastructures ferroviaires), l'EIM qui représente les gestionnaires d'infrastructure et l'Unife les fournisseurs de l'industrie ferroviaire se sont réjouies de ces annonces. Les trois fédérations professionnelles européennes soutiennent que le rail est le mode le plus efficace d'un point de vue énergétique et le moins émetteur, jouant "un rôle crucial dans la décarbonation du transport".
Pour les acteurs du ferroviaire, "le rail se pose en colonne vertébrale du système de transport bas carbone multimodal en Europe". D'après eux, il est donc le meilleur atout pour atteindre l'objectif européen de 2011 de réduire de 60 % des GES en 2050 et le nouveau cap.
Le CER, l'EIM et l'Unife "exhortent les décideurs d'augmenter la part des modes faibles en émissions et de soutenir l'électrification du réseau ferré".
Ils appellent aussi la Commission à "continuer et intensifier" le soutien à la recherche et à l'innovation dans le ferroviaire, avec l'extension du programme Shift2Rail – plateforme de coopération européenne publique-privée – dans le cadre de la prochaine programmation 2021-2027.