Le groupe logistique Deutsche Post DHL estime avoir maintenu une trajectoire de croissance positive au premier trimestre 2020 et avoir résisté à la pandémie.
Au cours des trois premiers de l'année, le groupe Deutsche Post DHL a vu son chiffre d'affaires progresser de 0,9 % pour atteindre 15,5 milliards d'euros. Son résultat d'exploitation (Ebitda) s'est élevé à 592 millions d'euros grâce aux résultats positifs de ses cinq divisions. Quant à son flux de trésorerie, il a presque triplé pour s'établir à 50 millions d'euros.
Avec la diversité d'activités qui composent son portefeuille de solutions logistiques (des services express internationaux au fret aérien et maritime, en passant par l'entreposage et la remise du courrier), le groupe estime être "mieux positionné que d'autres entreprises et bien équipé pour faire face aux situations de crise".
Selon lui, depuis le début de la propagation mondiale du coronavirus, les diverses activités menées dans les différentes régions ont donné de meilleurs résultats. Mais il reconnaît toutefois, dans quelques cas, de moins bons résultats que ceux initialement prévus.
L'atout de la diversification
L'entreprise juge que la forte diversification géographique aussi bien que sectorielle qui le caractérise ont permis aux divisions de fonctionner de manière rentable, démontrant ainsi leur "résilience en temps de crise", a expliqué la direction du logisticien. "La crise démontre une fois de plus la valeur de notre portefeuille vaste et résilient", a déclaré Frank Appel, le PDG du groupe.
Le groupe explique, à titre d'exemple, que les volumes de colis de la division Post & Parcel Allemagne ont augmenté de manière significative à la fin du trimestre, alors que les divisions de DHL ont ressenti les effets de l'immobilisme dans de nombreuses régions et industries clientes.
Selon le logisticien allemand, les affaires ont connu en Chine une reprise en mars après la baisse survenue en février.
Globalement, Deutsche Post DHL indique avoir connu une forte augmentation, notamment dans le secteur de l'alimentation et des soins de santé.
De plus, avec sa propre flotte d'avions cargo, le groupe estime être "l'un des rares fournisseurs au monde encore capable de transporter des livraisons urgentes".
La division Express du groupe a enregistré un bénéfice d'exploitation de 393 millions d'euros contre 453 millions d'euros en 2019.
La division Global freight forwarding (commission de transport international) a vu son bénéfice d'exploitation passer en un an de 100 millions d'euros à 73 millions d'euros, avec des bénéfices en pertes en raison du virus.
Quant à la division Supply chain, elle a enregistré une amélioration des bénéfices de 18 millions d'euros malgré une légère baisse du chiffre d'affaires. Dans le contexte de la pandémie, cette division est parvenue à conclure de nouveaux contrats.
D'ici 2022, la direction du groupe table sur un résultat opérationnel (EBIT) de 5,3 milliards d'euros. Elle estime que les prévisions cumulées d'investissements et de flux de trésorerie pour les deux exercices à venir restent également inchangées. Elle ajoute que celles-ci restent soumises aux impacts encore à quantifier de la pandémie de Covid-19 sur le flux de trésorerie disponible pendant l'année en cours.
Avec la diversité d'activités qui composent son portefeuille de solutions logistiques (des services express internationaux au fret aérien et maritime, en passant par l'entreposage et la remise du courrier), le groupe estime être "mieux positionné que d'autres entreprises et bien équipé pour faire face aux situations de crise".
Selon lui, depuis le début de la propagation mondiale du coronavirus, les diverses activités menées dans les différentes régions ont donné de meilleurs résultats. Mais il reconnaît toutefois, dans quelques cas, de moins bons résultats que ceux initialement prévus.
L'atout de la diversification
L'entreprise juge que la forte diversification géographique aussi bien que sectorielle qui le caractérise ont permis aux divisions de fonctionner de manière rentable, démontrant ainsi leur "résilience en temps de crise", a expliqué la direction du logisticien. "La crise démontre une fois de plus la valeur de notre portefeuille vaste et résilient", a déclaré Frank Appel, le PDG du groupe.
Le groupe explique, à titre d'exemple, que les volumes de colis de la division Post & Parcel Allemagne ont augmenté de manière significative à la fin du trimestre, alors que les divisions de DHL ont ressenti les effets de l'immobilisme dans de nombreuses régions et industries clientes.
Selon le logisticien allemand, les affaires ont connu en Chine une reprise en mars après la baisse survenue en février.
Globalement, Deutsche Post DHL indique avoir connu une forte augmentation, notamment dans le secteur de l'alimentation et des soins de santé.
De plus, avec sa propre flotte d'avions cargo, le groupe estime être "l'un des rares fournisseurs au monde encore capable de transporter des livraisons urgentes".
La division Express du groupe a enregistré un bénéfice d'exploitation de 393 millions d'euros contre 453 millions d'euros en 2019.
La division Global freight forwarding (commission de transport international) a vu son bénéfice d'exploitation passer en un an de 100 millions d'euros à 73 millions d'euros, avec des bénéfices en pertes en raison du virus.
Quant à la division Supply chain, elle a enregistré une amélioration des bénéfices de 18 millions d'euros malgré une légère baisse du chiffre d'affaires. Dans le contexte de la pandémie, cette division est parvenue à conclure de nouveaux contrats.
D'ici 2022, la direction du groupe table sur un résultat opérationnel (EBIT) de 5,3 milliards d'euros. Elle estime que les prévisions cumulées d'investissements et de flux de trésorerie pour les deux exercices à venir restent également inchangées. Elle ajoute que celles-ci restent soumises aux impacts encore à quantifier de la pandémie de Covid-19 sur le flux de trésorerie disponible pendant l'année en cours.