L’entrée en service du site Belgatrans à Metz et l’annonce de l’arrivée du belge Weerts à Thionville confirment l’attractivité pour les logisticiens du département mosellan, frontalier et raccordé à la voie d’eau.
La place privilégiée du département de la Moselle sur la carte européenne de la logistique se confirme par de nouvelles implantations, concrétisées ou à venir. La localisation sur le principal axe routier nord-sud d’Europe de l’Ouest continue à produire ses effets, auxquels s’ajoute la présence de la voie fluviale à grand gabarit, sur la Moselle canalisée.
D’une part, le groupe français Belgatrans, actif dans le Nord-Est, a finalisé en fin d’année dernière son arrivée sur la zone d’activités Actipôle à Metz. Sa direction souligne l’atout du positionnement à proximité du croisement des autoroutes A4 (Paris-Strasbourg) et A31 (Dijon-Luxembourg).
La société déploie un entrepôt de 1.000 m2 qui vient compléter son offre principale de transports de marchandises, notamment tournée vers le dernier kilomètre et les livraisons express. Elle travaille notamment pour les secteurs pharmaceutique et automobile et pour le bâtiment-travaux publics.
Du terrain disponible à l’Europort
Plus au nord, près de la frontière luxembourgeoise, c’est la zone Europort de Thionville qui se prépare à accueillir un nouvel occupant, de taille : le logisticien belge Weerts a signé, fin 2022, un compromis de vente d’une parcelle de 28 hectares. Il envisage d’investir 65 millions d’euros dans la construction d’une plateforme de 125.000 m² à partir de 2024 sur cette ancienne friche de la sidérurgie lorraine. Le projet pourrait créer jusqu'à 200 emplois, pour des clients dans l’industrie et le secteur alimentaire.
Weerts a pris sa décision d’implantation à l’Europort notamment du fait de la présence d’un quai de 300 mètres en bordure de la Moselle et de la possibilité d’aménager une voie ferrée, ce qui la met en capacité d'organiser des transports multimodaux si ses clients en faisaient la demande. Ses dirigeants reconnaissent ne pas avoir l’embarras du choix des lieux : rares sont en Belgique les disponibilités foncières de la dimension de celle décrochée à Thionville.
D’une part, le groupe français Belgatrans, actif dans le Nord-Est, a finalisé en fin d’année dernière son arrivée sur la zone d’activités Actipôle à Metz. Sa direction souligne l’atout du positionnement à proximité du croisement des autoroutes A4 (Paris-Strasbourg) et A31 (Dijon-Luxembourg).
La société déploie un entrepôt de 1.000 m2 qui vient compléter son offre principale de transports de marchandises, notamment tournée vers le dernier kilomètre et les livraisons express. Elle travaille notamment pour les secteurs pharmaceutique et automobile et pour le bâtiment-travaux publics.
Du terrain disponible à l’Europort
Plus au nord, près de la frontière luxembourgeoise, c’est la zone Europort de Thionville qui se prépare à accueillir un nouvel occupant, de taille : le logisticien belge Weerts a signé, fin 2022, un compromis de vente d’une parcelle de 28 hectares. Il envisage d’investir 65 millions d’euros dans la construction d’une plateforme de 125.000 m² à partir de 2024 sur cette ancienne friche de la sidérurgie lorraine. Le projet pourrait créer jusqu'à 200 emplois, pour des clients dans l’industrie et le secteur alimentaire.
Weerts a pris sa décision d’implantation à l’Europort notamment du fait de la présence d’un quai de 300 mètres en bordure de la Moselle et de la possibilité d’aménager une voie ferrée, ce qui la met en capacité d'organiser des transports multimodaux si ses clients en faisaient la demande. Ses dirigeants reconnaissent ne pas avoir l’embarras du choix des lieux : rares sont en Belgique les disponibilités foncières de la dimension de celle décrochée à Thionville.