La zone de stockage de la nouvelle usine de l’industriel suisse en Alsace présente un haut degré d’automatisation.
Voulue à la pointe des dernières technologies pour son process de production, la nouvelle usine de l’équipementier industriel SES-Sterling à Hésingue (Haut-Rhin) se place également à l’avant-garde en matière de logistique.
L’installation de stockage automatisée des produits finis dont elle s’est dotée compte moins de dix exemplaires en fonction par ailleurs en France, souligne la direction.
De conception norvégienne, elle concentre dans une partie de l’espace d’entreposage toutes les tâches finales de logistique, en les confiant en intégralité à des robots manipulateurs. Ceux-ci tournent à grande vitesse, s’adaptent instantanément à une actualisation de la commande, vont chercher les pièces nécessaires dans les casiers de cette "boîte fermée" et opèrent les reconditionnements, à partir d’un logiciel de pilotage.
"Outre la rapidité, l’installation procure d’importantes économies de surface. Elle occupe environ quatre fois moins de place qu’une solution classique à partir de racks", décrit François Minck, directeur général industrie du groupe GA Smart Building, qui a construit la nouvelle usine. Ces rangées traditionnelles de stockage se retrouvent en amont pour la mise à disposition des robots, jusqu’à une hauteur d’un peu moins de 8 mètres.
En périphérie plutôt qu’en centre-ville
L’ensemble du hall logistique n’occupe ainsi qu’une surface relativement réduite de 6.000 m2, en comparaison des 36.000 m2 totaux de la nouvelle unité de production de cette entreprise d’accessoires de câblerie et tuyauterie. Il se substitue à une plateforme qui était située dans le centre de la ville voisine de Saint-Louis, dans un environnement peu propice à la circulation des camions… et à la tranquillité des riverains.
Dans le même objectif de conciliation avec le développement urbain, le nouveau bâtiment regroupe sur une zone de périphérie l'activité des quatre anciens sites de fabrication de centres-villes proches. Le déménagement, qui représente un investissement de 44 millions d’euros en immobilier et en équipement, concerne 263 salariés jusqu'à la fin de cette année.
L’installation de stockage automatisée des produits finis dont elle s’est dotée compte moins de dix exemplaires en fonction par ailleurs en France, souligne la direction.
De conception norvégienne, elle concentre dans une partie de l’espace d’entreposage toutes les tâches finales de logistique, en les confiant en intégralité à des robots manipulateurs. Ceux-ci tournent à grande vitesse, s’adaptent instantanément à une actualisation de la commande, vont chercher les pièces nécessaires dans les casiers de cette "boîte fermée" et opèrent les reconditionnements, à partir d’un logiciel de pilotage.
"Outre la rapidité, l’installation procure d’importantes économies de surface. Elle occupe environ quatre fois moins de place qu’une solution classique à partir de racks", décrit François Minck, directeur général industrie du groupe GA Smart Building, qui a construit la nouvelle usine. Ces rangées traditionnelles de stockage se retrouvent en amont pour la mise à disposition des robots, jusqu’à une hauteur d’un peu moins de 8 mètres.
En périphérie plutôt qu’en centre-ville
L’ensemble du hall logistique n’occupe ainsi qu’une surface relativement réduite de 6.000 m2, en comparaison des 36.000 m2 totaux de la nouvelle unité de production de cette entreprise d’accessoires de câblerie et tuyauterie. Il se substitue à une plateforme qui était située dans le centre de la ville voisine de Saint-Louis, dans un environnement peu propice à la circulation des camions… et à la tranquillité des riverains.
Dans le même objectif de conciliation avec le développement urbain, le nouveau bâtiment regroupe sur une zone de périphérie l'activité des quatre anciens sites de fabrication de centres-villes proches. Le déménagement, qui représente un investissement de 44 millions d’euros en immobilier et en équipement, concerne 263 salariés jusqu'à la fin de cette année.