Froids positif et négatif confondus, le transport frigorifique se distingue en France par son dynamisme avec une progression moyenne de 4 % par an depuis 2014 et même 9 % à coût de carburant constant.
Selon "Les Échos Études", qui a réalisé une enquête sur la filière du transport frigorifique, son chiffre d’affaires s’élève aujourd’hui à 6,4 milliards d’euros dont 91 % généré dans l’alimentaire devançant, de très loin, les produits de santé (6 %), les végétaux (1 %) ou encore les cosmétiques et certains composants électroniques.
Si ces segments peuvent paraître marginaux, ils sont néanmoins "de taille suffisante pour rendre économiquement viables des PME/TPE spécialisées ou même des filiales dédiées de grands groupes de transport en quête de diversification", relève l’enquête.
Dans l’alimentaire, Stef se présente comme le leader incontesté tandis que plusieurs prestataires, hors répartiteurs pharmaceutiques, se partagent le marché des produits de santé tels que Heppner, Eurotranspharma, Chronopost et ses filiales ou Star Service.
Émergence de nouveaux flux
Selon l’étude, le chiffre d’affaires du transport frigorifique devrait augmenter de plus de 50 % d’ici 2025 soutenu par les besoins de la filière agroalimentaire "où la volonté de consommer plus sain, la quête de solutions de repas pratiques et rapides ainsi que la démultiplication de supérettes de centre-ville favorisent l’émergence de nouveaux flux".
Si ces segments peuvent paraître marginaux, ils sont néanmoins "de taille suffisante pour rendre économiquement viables des PME/TPE spécialisées ou même des filiales dédiées de grands groupes de transport en quête de diversification", relève l’enquête.
Dans l’alimentaire, Stef se présente comme le leader incontesté tandis que plusieurs prestataires, hors répartiteurs pharmaceutiques, se partagent le marché des produits de santé tels que Heppner, Eurotranspharma, Chronopost et ses filiales ou Star Service.
Émergence de nouveaux flux
Selon l’étude, le chiffre d’affaires du transport frigorifique devrait augmenter de plus de 50 % d’ici 2025 soutenu par les besoins de la filière agroalimentaire "où la volonté de consommer plus sain, la quête de solutions de repas pratiques et rapides ainsi que la démultiplication de supérettes de centre-ville favorisent l’émergence de nouveaux flux".