Les volumes placés sur le marché locatif logistique ont augmenté sur un an et la demande exprimée n'a cessé de s’intensifier. Le marché de l’investissement affiche un dynamisme très positif porté par la croissance du e-commerce.
Au quatrième trimestre 2021, un peu plus d'un million de mètres carrés a été placé en logistique au plan national. L’année s'est ainsi terminée avec une demande placée à 4,4 millions de m², soit une progression de 7 % sur un an et un volume supérieur à la moyenne décennale. Sur douze mois, 258 transactions de plus de 5.000 m² ont été recensées, dont treize transactions de plus de 50.000 m².
"2021 est une excellente année en termes de volumes placés au niveau national. Et c’est d’autant plus remarquable que bon nombre d’utilisateurs n’ont pas pu concrétiser leurs projets d’implantation faute d’offres disponibles sur de nombreux secteurs", commente Pierre-Louis Dumont, directeur exécutif de l'agence I&L France.
Selon lui, la demande exprimée continue de s’intensifier. L’ensemble des acteurs de la logistique est confronté aux nouveaux enjeux de la supply chain imposés par "l’accélération des changements des modes de consommation".
Entre acteurs professionnels de la logistique et négociateurs, qui développent leur modèle de distribution en ligne, prestataires logistiques dont l'activité est étroitement liée au e-commerce ainsi qu'à la grande distribution, le commerce électronique pousse plus loin les besoins en matière logistique, estiment les professionnels de l'immobilier.
Tension sur les loyers
Des demandes qui émanent à la fois d’utilisateurs cherchant à renouveler leur immobilier, recherchant des surfaces supplémentaires pour répondre à la croissance de l’activité, souhaitant disposer d'un maillage territorial plus fin. Une tendance qui provient également de nouveaux entrants.
Néanmoins, le stock d’offre existant reste encore contraint. "En début d’année 2021, nous parlions de pénurie d’offre en Paca et Rhône-Alpes, elle gagne désormais l’Île-de-France et d’autres marchés régionaux à l’instar de Bordeaux et Nantes. Cette réalité de marché met en lumière la nécessité de recréer une offre adaptée dans la plupart des grands territoires ", détaille Pierre-Louis Dumont.
La tension sur les loyers reflète celle de l’offre. Et d'expliquer que les loyers qui avaient déjà repris de la vigueur ces dernières années voient cette hausse s’accentuer de plus en plus sur les marchés en pénurie d’offres, et ce même sur les transactions concernant les surfaces de plus de 50.000 m2 dans les secteurs les plus denses.
"2021 est une excellente année en termes de volumes placés au niveau national. Et c’est d’autant plus remarquable que bon nombre d’utilisateurs n’ont pas pu concrétiser leurs projets d’implantation faute d’offres disponibles sur de nombreux secteurs", commente Pierre-Louis Dumont, directeur exécutif de l'agence I&L France.
Selon lui, la demande exprimée continue de s’intensifier. L’ensemble des acteurs de la logistique est confronté aux nouveaux enjeux de la supply chain imposés par "l’accélération des changements des modes de consommation".
Entre acteurs professionnels de la logistique et négociateurs, qui développent leur modèle de distribution en ligne, prestataires logistiques dont l'activité est étroitement liée au e-commerce ainsi qu'à la grande distribution, le commerce électronique pousse plus loin les besoins en matière logistique, estiment les professionnels de l'immobilier.
Tension sur les loyers
Des demandes qui émanent à la fois d’utilisateurs cherchant à renouveler leur immobilier, recherchant des surfaces supplémentaires pour répondre à la croissance de l’activité, souhaitant disposer d'un maillage territorial plus fin. Une tendance qui provient également de nouveaux entrants.
Néanmoins, le stock d’offre existant reste encore contraint. "En début d’année 2021, nous parlions de pénurie d’offre en Paca et Rhône-Alpes, elle gagne désormais l’Île-de-France et d’autres marchés régionaux à l’instar de Bordeaux et Nantes. Cette réalité de marché met en lumière la nécessité de recréer une offre adaptée dans la plupart des grands territoires ", détaille Pierre-Louis Dumont.
La tension sur les loyers reflète celle de l’offre. Et d'expliquer que les loyers qui avaient déjà repris de la vigueur ces dernières années voient cette hausse s’accentuer de plus en plus sur les marchés en pénurie d’offres, et ce même sur les transactions concernant les surfaces de plus de 50.000 m2 dans les secteurs les plus denses.