L'Union TLF, le Comité national routier et la Fédération nationale des transports routiers ont fait une première évaluation des surcoûts liés aux mesures sanitaires dans le secteur. Leurs travaux montrent qu'ils s’élèvent à plus de trois euros par salarié et par jour.
Assurer la protection sanitaire des salariés qui garantissent l’approvisionnement des Français a un coût pour les entreprises de transport et de logistique. Cette charge se ventile en trois postes selon un sondage de l’Union TLF auprès de ses adhérents.
Le premier concerne les équipements individuels de protection ainsi que les formations associées. Il est évalué à 2,5 euros par jour et par salarié. Le deuxième couvre l’aménagement des locaux et entrepôts logistiques (cloisons, réorganisation des espaces, désinfection, équipements sanitaires…). Ce surcoût est estimé à 0,15 euro par m2. Enfin, la fédération professionnelle a calculé l’impact sur la productivité lié à la mise en œuvre de ces mesures et à l’adaptation des process.
Le premier concerne les équipements individuels de protection ainsi que les formations associées. Il est évalué à 2,5 euros par jour et par salarié. Le deuxième couvre l’aménagement des locaux et entrepôts logistiques (cloisons, réorganisation des espaces, désinfection, équipements sanitaires…). Ce surcoût est estimé à 0,15 euro par m2. Enfin, la fédération professionnelle a calculé l’impact sur la productivité lié à la mise en œuvre de ces mesures et à l’adaptation des process.