Le logisticien industriel Idéa espère une croissance de 50 % de son chiffre d’affaires d’ici 2025. Son nouveau plan stratégique, présenté le 29 mars, prévoit un recrutement et un investissement massifs, notamment dans le but de décarboner et numériser davantage ses activités.
Baptisé "Good IDEA 2025", le nouveau plan stratégique d’Idéa contient plusieurs objectifs chiffrés. Son déploiement, prévu entre 2021 et 2025, vise tout d’abord à "consolider la croissance à environ 15 % par an", déclare son directeur général délégué Nicolas Derouault.
Parti de 160 millions d’euros (M EUR) en 2021, son chiffre d’affaires est censé s’élever à 225 M EUR à l’issue du plan. Pour y parvenir, le groupe coopératif spécialisé dans la logistique industrielle prévoit de recruter 800 personnes, qui porteront son effectif à 2.300 salariés. Les investissements d'Idéa augmenteront sensiblement aussi, passant de 66 M EUR entre 2016 et 2020 à 100 M EUR jusqu’en 2025.
Producteur d’énergies renouvelables
Un tiers de ces investissements sera consacré à décarboner ses activités avec l'objectif de "réduire de 25 % l'empreinte carbone et d'atteindre la neutralité carbone d’ici 2040", affirme Nicolas Derouault.
Plusieurs projets seront ainsi menés, dont la transition vers le biogaz de sa flotte de 200 moteurs. Pour l’approvisionner, le groupe développera ses propres unités de méthanisation. Trois seront créées, dont une opérationnelle dès avril à Montoir-de-Bretagne. "Ces unités de méthanisation produiront du biogaz à partir de déchets organiques, de bois et de boues d’épuration". En parallèle, la production d’énergie solaire sera généralisée au moyen de panneaux photovoltaïques installés sur le toit de ses bâtiments et entrepôts (60 sites en France).
Diversification dans la santé
L'innovation est un autre axe du plan "Good IDEA 2025". Ses priorités sont "la numérisation des activités, la formation immersive, l’intelligence artificielle, l’automatisation et les engins autonomes". Les investissements "ont pour but d’accélérer et de sécuriser nos process ainsi que de réduire la pénibilité", explique le directeur général délégué.
Ils visent aussi à renforcer les offres de service dans les huit secteurs où Idéa intervient : aéronautique, télécoms, énergies (dont les EMR), industrie, défense, construction navale, vracs industriels et agroalimentaires dans les ports.
Pour ces activités portuaires et les énergies marines renouvelables, les éoliennes offshores en particulier, les collaborations avec les groupes Sea-Invest et Buss seront poursuivies. Enfin, Idéa annonce une diversification dans le secteur de la santé. Dans un premier temps, cette dernière concernera "le conseil et le pilotage logistiques", précise Nicolas Derouault.
Parti de 160 millions d’euros (M EUR) en 2021, son chiffre d’affaires est censé s’élever à 225 M EUR à l’issue du plan. Pour y parvenir, le groupe coopératif spécialisé dans la logistique industrielle prévoit de recruter 800 personnes, qui porteront son effectif à 2.300 salariés. Les investissements d'Idéa augmenteront sensiblement aussi, passant de 66 M EUR entre 2016 et 2020 à 100 M EUR jusqu’en 2025.
Producteur d’énergies renouvelables
Un tiers de ces investissements sera consacré à décarboner ses activités avec l'objectif de "réduire de 25 % l'empreinte carbone et d'atteindre la neutralité carbone d’ici 2040", affirme Nicolas Derouault.
Plusieurs projets seront ainsi menés, dont la transition vers le biogaz de sa flotte de 200 moteurs. Pour l’approvisionner, le groupe développera ses propres unités de méthanisation. Trois seront créées, dont une opérationnelle dès avril à Montoir-de-Bretagne. "Ces unités de méthanisation produiront du biogaz à partir de déchets organiques, de bois et de boues d’épuration". En parallèle, la production d’énergie solaire sera généralisée au moyen de panneaux photovoltaïques installés sur le toit de ses bâtiments et entrepôts (60 sites en France).
Diversification dans la santé
L'innovation est un autre axe du plan "Good IDEA 2025". Ses priorités sont "la numérisation des activités, la formation immersive, l’intelligence artificielle, l’automatisation et les engins autonomes". Les investissements "ont pour but d’accélérer et de sécuriser nos process ainsi que de réduire la pénibilité", explique le directeur général délégué.
Ils visent aussi à renforcer les offres de service dans les huit secteurs où Idéa intervient : aéronautique, télécoms, énergies (dont les EMR), industrie, défense, construction navale, vracs industriels et agroalimentaires dans les ports.
Pour ces activités portuaires et les énergies marines renouvelables, les éoliennes offshores en particulier, les collaborations avec les groupes Sea-Invest et Buss seront poursuivies. Enfin, Idéa annonce une diversification dans le secteur de la santé. Dans un premier temps, cette dernière concernera "le conseil et le pilotage logistiques", précise Nicolas Derouault.