GT Logistics, spécialiste de l’externalisation dans les usines de ses clients, souhaite développer ses activités de sous-traitance industrielle. Le groupe anticipe une croissance à deux chiffres cette année et s’oppose à un 13e mois dans la branche logistique.
Depuis quelques semaines, l’Union TLF et les syndicats de la branche logistique négocient sur un projet de 13e mois. "Une erreur", estime Éric Sarrat. Le fondateur et président non exécutif de GT Logistics se déclare "furieux et en total désaccord avec TLF, à l’origine de cette proposition". Il aurait préféré une autre approche "comme la participation ou l’intéressement, qui contribuent à la performance de l’entreprise". À ses yeux, la mise en œuvre d’un 13e mois accentuerait "la hausse des salaires prévue en 2022 du fait de l’inflation et risque de s’étendre à d’autres activités comme les transports routiers". Faute d’avoir été entendu, le logisticien a décidé de quitter TLF.
Nouvelle activité de conseil
Spécialiste de la logistique industrielle sur sites clients, GT Logistics devrait clôturer l'exercice 2021 "sur une croissance rentable de 12 % et un chiffre d’affaires d’environ 73 millions d’euros", prévoit Éric Sarrat. L'année 2022 s’annonce "plus compliquée", selon lui. En plus de l’inflation, le groupe reconnaît avoir perdu deux contrats dans l'automobile (PSA à Sochaux et Continental à Toulouse). "Ces pertes devraient être partiellement compensées par de nouvelles collaborations avec Solvay à Lyon et Ineos à Lavéra, près de Marseille".
Les difficultés de recrutement inquiètent également le logisticien. "Elle est aussi à l’origine d’opportunités et de relais de croissance". C’est dans cet esprit que GT Logistics a conçu son nouveau plan stratégique "Cap 2024". L'entreprise y prévoit d’étendre ses activités en logistique industrielle par "du conseil avec ou sans délégation de production". Quelques thèmes sont d’ores et déjà ciblés autour de "l’optimisation des flux industriels, la mécanisation et la robotisation, le contrôle qualité et la maintenance".
Maintenir une croissance au-dessus de 7 %
Pour concrétiser ce projet baptisé "GTX", le groupe annonce la création d’une filiale dédiée au premier semestre 2022. Éric Sarrat se déclare "prêt à investir" et à proposer "des transferts d’activité avec personnels et machines", comme GT le fait dans la logistique depuis sa création en 2001. Ses spécialités dans l'automobile, l'aéronautique ou la défense devraient lui servir de tremplin.
Augmenter le chiffre d’affaires de plus de 7 % par an est un autre objectif du plan stratégique. Celui-ci traduit aussi la volonté de concentrer la croissance externe du groupe "sur l’acquisition de nouvelles compétences ou l’entrée sur de nouveaux marchés".
Nouvelle activité de conseil
Spécialiste de la logistique industrielle sur sites clients, GT Logistics devrait clôturer l'exercice 2021 "sur une croissance rentable de 12 % et un chiffre d’affaires d’environ 73 millions d’euros", prévoit Éric Sarrat. L'année 2022 s’annonce "plus compliquée", selon lui. En plus de l’inflation, le groupe reconnaît avoir perdu deux contrats dans l'automobile (PSA à Sochaux et Continental à Toulouse). "Ces pertes devraient être partiellement compensées par de nouvelles collaborations avec Solvay à Lyon et Ineos à Lavéra, près de Marseille".
Les difficultés de recrutement inquiètent également le logisticien. "Elle est aussi à l’origine d’opportunités et de relais de croissance". C’est dans cet esprit que GT Logistics a conçu son nouveau plan stratégique "Cap 2024". L'entreprise y prévoit d’étendre ses activités en logistique industrielle par "du conseil avec ou sans délégation de production". Quelques thèmes sont d’ores et déjà ciblés autour de "l’optimisation des flux industriels, la mécanisation et la robotisation, le contrôle qualité et la maintenance".
Maintenir une croissance au-dessus de 7 %
Pour concrétiser ce projet baptisé "GTX", le groupe annonce la création d’une filiale dédiée au premier semestre 2022. Éric Sarrat se déclare "prêt à investir" et à proposer "des transferts d’activité avec personnels et machines", comme GT le fait dans la logistique depuis sa création en 2001. Ses spécialités dans l'automobile, l'aéronautique ou la défense devraient lui servir de tremplin.
Augmenter le chiffre d’affaires de plus de 7 % par an est un autre objectif du plan stratégique. Celui-ci traduit aussi la volonté de concentrer la croissance externe du groupe "sur l’acquisition de nouvelles compétences ou l’entrée sur de nouveaux marchés".