Commerce électronique, vrac, bio, circuits courts… évolution des comportements de consommation oblige, l'industrie agroalimentaire a adapté sa logistique.
D’ici 2030, tous les commerces alimentaires de plus de 400 m2 devront consacrer 20 % de leur surface de vente au vrac. Cette mesure de la loi Climat suppose la mise en œuvre de nouvelles organisations logistiques. Celles-ci ont été abordées le 15 avril lors d’un colloque animé par Bretagne supply chain. Plusieurs industriels agroalimentaires, associations, transporteurs et logisticiens y ont évoqué les changements de comportement de consommation qui modifient les schémas en place : e-commerce alimentaire, agriculture biologique, circuits courts…
Projet "Hub vrac"
Pour le vrac, l’association Réseau Vrac qui rassemble 1.800 membres a présenté une logistique amont originale basée sur le réemploi des conditionnements. En test et limité aux produits alimentaires à température ambiante pour le moment, ce projet baptisé Hub vrac consiste à massifier les envois des producteurs alimentaires bretons vers une plateforme de consolidation gérée par FM Logistic à Mormant (Seine et Marne).
Projet "Hub vrac"
Pour le vrac, l’association Réseau Vrac qui rassemble 1.800 membres a présenté une logistique amont originale basée sur le réemploi des conditionnements. En test et limité aux produits alimentaires à température ambiante pour le moment, ce projet baptisé Hub vrac consiste à massifier les envois des producteurs alimentaires bretons vers une plateforme de consolidation gérée par FM Logistic à Mormant (Seine et Marne).