Le logisticien rhodanien Dimotrans a vu son chiffre d’affaires consolidé progresser de près de 90 % en 2021. Une bonne santé liée à une forte croissance organique et au rachat, notamment, de Crystal Group.
En 2021, Dimotrans Group a vu triple. L'entreprise spécialisée dans les solutions de transport modal et dans la logistique contractuelle a connu une croissance impressionnante de son chiffre d’affaires consolidé. Ce dernier est passé de 396 millions en 2020 à 744 millions d’euros, soit une progression de 87,9 %. Depuis 2012, son chiffre d'affaires a été multiplié par quatre. Son résultat opérationnel consolidé a, lui, quasiment triplé entre 2020 et 2021, passant de 8,5 millions à 25,2 millions d’euros.
Pour expliquer cette réussite, l’entreprise rhodanienne met en avant une bonne croissance organique. À périmètre constant, son chiffre d’affaires a augmenté de 66,2 %. Elle a su tirer donc profit de ces croissances externes récentes. Après avoir absorbé, dans le secteur de la messagerie, les transports H. Ducros en 2017 puis l’entreprise BSL (Bretagne Services Logistiques) en 2019, Dimotrans est entré dans le capital de Crystal Group. En prenant 85 % des parts du transitaire aérien et maritime et commissionnaire en douane, la société s’est renforcée dans les opérations d’import-export. En 2020, sa nouvelle filiale avait réalisé un chiffre d’affaire 104 millions d’euros.
Autant d'acquisitions qui permettent au groupe de proposer davantage de solutions globales dans la commission de transport maritime et aérien, la logistique contractuelle, la messagerie nationale et l’ensemble des métiers de la route et du groupage international. Il indique avoir réalisé trente opérations de croissance externe en 20 ans.
Dimotrans explique que son pôle Asie, qui compte une dizaine de filiales, s'est montré dynamique. Pour cette région du monde, le groupe a vu son chiffre d’affaires être multiplié par 2,75 en 2021. Une croissance portée notamment par l’ouverture de deux nouvelles filiales à Singapour et en Malaisie. Il estime en outre que les niveaux élevés des taux de fret ont également joué en sa faveur.
D'autres opérations de croissance externe en prévision
Pour le premier trimestre 2022, la direction du groupe rhônalpin a observé une "bonne progression" de l’activité et un "résultat solide" mais elle reste sur ses gardes. "L’évolution de la situation et en particulier des tensions liées à la crise ukrainienne nous incite à une grande prudence, indique l’entreprise. Nous ne souhaitons pas faire d’effet d’annonce face à une situation que personne ne maîtrise". Sans donner plus de détails, la société précise que de nouvelles opérations de croissance externe pourraient avoir lieu. Son prochain business plan sera dévoilé au premier trimestre 2022.
Pour expliquer cette réussite, l’entreprise rhodanienne met en avant une bonne croissance organique. À périmètre constant, son chiffre d’affaires a augmenté de 66,2 %. Elle a su tirer donc profit de ces croissances externes récentes. Après avoir absorbé, dans le secteur de la messagerie, les transports H. Ducros en 2017 puis l’entreprise BSL (Bretagne Services Logistiques) en 2019, Dimotrans est entré dans le capital de Crystal Group. En prenant 85 % des parts du transitaire aérien et maritime et commissionnaire en douane, la société s’est renforcée dans les opérations d’import-export. En 2020, sa nouvelle filiale avait réalisé un chiffre d’affaire 104 millions d’euros.
Autant d'acquisitions qui permettent au groupe de proposer davantage de solutions globales dans la commission de transport maritime et aérien, la logistique contractuelle, la messagerie nationale et l’ensemble des métiers de la route et du groupage international. Il indique avoir réalisé trente opérations de croissance externe en 20 ans.
Dimotrans explique que son pôle Asie, qui compte une dizaine de filiales, s'est montré dynamique. Pour cette région du monde, le groupe a vu son chiffre d’affaires être multiplié par 2,75 en 2021. Une croissance portée notamment par l’ouverture de deux nouvelles filiales à Singapour et en Malaisie. Il estime en outre que les niveaux élevés des taux de fret ont également joué en sa faveur.
D'autres opérations de croissance externe en prévision
Pour le premier trimestre 2022, la direction du groupe rhônalpin a observé une "bonne progression" de l’activité et un "résultat solide" mais elle reste sur ses gardes. "L’évolution de la situation et en particulier des tensions liées à la crise ukrainienne nous incite à une grande prudence, indique l’entreprise. Nous ne souhaitons pas faire d’effet d’annonce face à une situation que personne ne maîtrise". Sans donner plus de détails, la société précise que de nouvelles opérations de croissance externe pourraient avoir lieu. Son prochain business plan sera dévoilé au premier trimestre 2022.