En pleine pandémie, l'ETI lyonnaise a misé sur son passage au numérique pour innover et continuer à proposer des solutions à ses clients, après une excellente année 2019.
Alors que la crise sanitaire générée par la pandémie de coronavirus a mis le commerce international en pause, Clasquin s'en sort bien. Le logisticien a fait face à un quasi-arrêt du transport aérien, qui représente 35 % de son activité habituelle. Mais son implantation asiatique lui a permis de prendre la mesure de la gravité de la crise très tôt. Et de faire le dos rond. Le 15 février, un plan de gel des dépenses est acté. Il est suivi le 15 mars d’un plan d’ajustement : baisse de certains salaires, suspension de paiement de dividendes, etc. L’entreprise sort ainsi de la période sans licenciement, grâce à la mise en œuvre d'une baisse générale des coûts.
Surperformer le marché mondial du fret
C'est avec cette capacité d’adaptation que Clasquin compte toujours faire "au moins deux à trois fois mieux que le marché mondial du fret". L'ETI a participé à la mise en place de ponts aériens. Elle va proposer notamment de nouvelles solutions numériques en septembre 2020. Avec 980 salariés, l’entreprise est à présent "100 % dans le cloud", souligne le directeur général, Hugues Morin. Plutôt que de travailler avec des serveurs internes, ses données sont directement hébergées chez les créateurs de logiciels. D'après Clasquin, cette évolution permet d'assurer une meilleure sécurité de ses échanges. De même, pour cette entreprise comptant 66 bureaux dans le monde, cette démarche a permis d'uniformiser l'usage des logiciels. L'objectif est de permettre à tous les salariés de travailler avec les mêmes outils.
Surperformer le marché mondial du fret
C'est avec cette capacité d’adaptation que Clasquin compte toujours faire "au moins deux à trois fois mieux que le marché mondial du fret". L'ETI a participé à la mise en place de ponts aériens. Elle va proposer notamment de nouvelles solutions numériques en septembre 2020. Avec 980 salariés, l’entreprise est à présent "100 % dans le cloud", souligne le directeur général, Hugues Morin. Plutôt que de travailler avec des serveurs internes, ses données sont directement hébergées chez les créateurs de logiciels. D'après Clasquin, cette évolution permet d'assurer une meilleure sécurité de ses échanges. De même, pour cette entreprise comptant 66 bureaux dans le monde, cette démarche a permis d'uniformiser l'usage des logiciels. L'objectif est de permettre à tous les salariés de travailler avec les mêmes outils.