En quittant Marseille, Agrexco raye 125 000 journées de travail dockers de la carte des bassins marseillais. Cela vient aggraver le taux d’inemploi qui, à son tour, vient peser sur les coûts de la place. Pour trouver des solutions, des discussions entre le Semfos (syndicat des manutentionnaires) et la CGT-Docker ont été ouvertes. En attendant, Marseille-Manutention, filiale de Sea Invest qui traitait le trafic israélien de fruits et primeurs se refuse à communiquer sur l’impact de ce détournement de trafic comme sur le destin du terminal fruitier qu’il exploit. (lire notre article p. 22).
7 jours en mer
Discussion CGT Docker-Semfos
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