Le Président de la République a annoncé le 28 octobre que la France serait à nouveau confinée, à partir du vendredi 30 octobre 0h00 jusqu'au 1er décembre, dans le but de lutter contre l'épidémie de Covid-19. De nombreuses questions restent en suspens quant à l'activité professionnelle de conducteur routier.
La première concerne l'accès aux sanitaires et à la restauration pour les chauffeurs qui seront sur la route dans le but de ravitailler les magasins en produits de première nécessité. C'est l'énorme point noir ayant posé problème lors du premier confinement : les restaurants routiers et aires de services autoroutières étant totalement fermées durant la première partie, vente à emporter comprise.
Il est encore trop tôt pour savoir comment ces services pourront être assurés : le Premier ministre doit prendre la parole le 29 octobre au soir pour définir les modalités de cette seconde période de confinement.
Néanmoins, les routiers attendent des mesures claires, comme l'a précisé le syndicat CFDT dans un communiqué le 29 octobre : "Avec la fermeture des relais routiers, sachant que les conducteurs vont devoir assurer les livraisons de marchandises considérées comme essentielles à la nation dans des conditions difficiles, l’Union Fédérale Route FGTE CFDT exige du ministère des Transports de considérer ces établissements comme essentiels en les conservant ouverts pour que ces salariés qui ont subi des conditions de travail déplorables lors du premier confinement puissent assurer les missions en bénéficiant d’accès à l’hygiène et la restauration dans le strict respect des règles sanitaires".
En clair, il est hors de question pour les chauffeurs d'arriver dans une zone de chargement et de lire ce type d'affiche :
Sur le réseau autoroutier, pas de nouvelles quant aux ouvertures et fermetures des aires. On sait juste qu'une carte est en préparation, mais les concessionnaires autoroutiers attendent les consignes du gouvernement et des préfectures de départements.
La voix des routiers sera-t-elle entendue, alors que leur implication dans la réussite du premier confinement a été relevée par de nombreux ministres et élus ? La réponse dans les heures qui viennent...
Réagissez et postez vos témoignages, photos et autres messages sur la page Facebook @FranceRoutes(officiel)
La première concerne l'accès aux sanitaires et à la restauration pour les chauffeurs qui seront sur la route dans le but de ravitailler les magasins en produits de première nécessité. C'est l'énorme point noir ayant posé problème lors du premier confinement : les restaurants routiers et aires de services autoroutières étant totalement fermées durant la première partie, vente à emporter comprise.
Dans l'attente des modalités d'application
Il est encore trop tôt pour savoir comment ces services pourront être assurés : le Premier ministre doit prendre la parole le 29 octobre au soir pour définir les modalités de cette seconde période de confinement.
Restaus et sanitaires doivent rester ouverts !
Néanmoins, les routiers attendent des mesures claires, comme l'a précisé le syndicat CFDT dans un communiqué le 29 octobre : "Avec la fermeture des relais routiers, sachant que les conducteurs vont devoir assurer les livraisons de marchandises considérées comme essentielles à la nation dans des conditions difficiles, l’Union Fédérale Route FGTE CFDT exige du ministère des Transports de considérer ces établissements comme essentiels en les conservant ouverts pour que ces salariés qui ont subi des conditions de travail déplorables lors du premier confinement puissent assurer les missions en bénéficiant d’accès à l’hygiène et la restauration dans le strict respect des règles sanitaires".
En clair, il est hors de question pour les chauffeurs d'arriver dans une zone de chargement et de lire ce type d'affiche :
Sur le réseau autoroutier, pas de nouvelles quant aux ouvertures et fermetures des aires. On sait juste qu'une carte est en préparation, mais les concessionnaires autoroutiers attendent les consignes du gouvernement et des préfectures de départements.
La voix des routiers sera-t-elle entendue, alors que leur implication dans la réussite du premier confinement a été relevée par de nombreux ministres et élus ? La réponse dans les heures qui viennent...
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