Au cours des trois prochaines années, l’Union TLF présidée par Éric Hémar a défini son plan de marche avec le concours de ses commissions.
Autour de quatre chantiers prioritaires, l’Union TLF croise tout d’abord l’objet du rapport Hémar-Daher sur la compétitivité des chaînes logistiques en France avec la compétitivité de la filière pour premier axe.
Saluant les mesures annoncées par le Premier ministre lors de la remise du rapport le 16 septembre, l’Union s’attèle aujourd’hui à créer la plateforme France Logistique d’ici la fin de l’année. Cette dernière vise à rassembler l’ensemble des acteurs privés (transporteurs, logisticiens, chargeurs, gestionnaires d’infrastructures…) pour porter une "voix unifiée" dans le dialogue avec les pouvoirs publics.
Attractivité des métiers de la filière
L’attractivité des métiers de la filière arrive en deuxième position. "Si près de 20.000 postes ont été créés en 2019, bon nombre des métiers sont en tension et les entreprises ont du mal à recruter. D’où l’importance de mobiliser l’ensemble des acteurs notamment en matière de formation et d’apprentissage pour sensibiliser le grand public à l’attractivité de notre profession qui présente de nombreuses opportunités, favorise la mobilité et sait fidéliser ses salariés".
Au travers du nouveau dispositif EVcom qui prévoit d’engager 60 commissionnaires dans la démarche et une économie de 120.000 tonnes de CO2 d’ici 2022, la transition écologique est mise en avant en encourageant aussi les entreprises à s’inscrire dans des politiques RSE.
Rebouclant avec le rapport Hémar-Daher, l’innovation est le dernier chantier cité dans le but "de se démarquer de la concurrence européenne". Pour appliquer cette feuille de route, le Comité directeur de TLF est aujourd’hui finalisé.
Autour d’Éric Hémar, Jean-Pierre Sancier et Herbert de Saint-Simon sont confirmés chacun au poste de vice-président, le premier en charge des activités terrestres, le deuxième du pôle overseas-douane. Dix autres dirigeants d’entreprise figurent au sein du comité dont le pilotage est confié à Alexis Degouy, délégué général de l’Union.
Saluant les mesures annoncées par le Premier ministre lors de la remise du rapport le 16 septembre, l’Union s’attèle aujourd’hui à créer la plateforme France Logistique d’ici la fin de l’année. Cette dernière vise à rassembler l’ensemble des acteurs privés (transporteurs, logisticiens, chargeurs, gestionnaires d’infrastructures…) pour porter une "voix unifiée" dans le dialogue avec les pouvoirs publics.
Attractivité des métiers de la filière
L’attractivité des métiers de la filière arrive en deuxième position. "Si près de 20.000 postes ont été créés en 2019, bon nombre des métiers sont en tension et les entreprises ont du mal à recruter. D’où l’importance de mobiliser l’ensemble des acteurs notamment en matière de formation et d’apprentissage pour sensibiliser le grand public à l’attractivité de notre profession qui présente de nombreuses opportunités, favorise la mobilité et sait fidéliser ses salariés".
Au travers du nouveau dispositif EVcom qui prévoit d’engager 60 commissionnaires dans la démarche et une économie de 120.000 tonnes de CO2 d’ici 2022, la transition écologique est mise en avant en encourageant aussi les entreprises à s’inscrire dans des politiques RSE.
Rebouclant avec le rapport Hémar-Daher, l’innovation est le dernier chantier cité dans le but "de se démarquer de la concurrence européenne". Pour appliquer cette feuille de route, le Comité directeur de TLF est aujourd’hui finalisé.
Autour d’Éric Hémar, Jean-Pierre Sancier et Herbert de Saint-Simon sont confirmés chacun au poste de vice-président, le premier en charge des activités terrestres, le deuxième du pôle overseas-douane. Dix autres dirigeants d’entreprise figurent au sein du comité dont le pilotage est confié à Alexis Degouy, délégué général de l’Union.