Pour TLF, le secteur des transports et de la logistique est confronté à trois défis en France : l’attractivité de ses métiers, la transition énergétique et la compétitivité de ses offres. Lors de son assemblée générale, la fédération a appelé les pouvoirs publics à mettre en œuvre un cadre législatif adapté à ces enjeux.
Marc Papinutti, directeur du cabinet d'Élisabeth Borne quand elle était en charge de la Transition écologique et solidaire et des Transports, va désormais piloter le cabinet du nouveau ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.
TLF a organisé son assemblée générale annuelle le 30 juin. Elle a été l’occasion pour la fédération de revenir sur les dossiers prioritaires du secteur pour les mois à venir.
Après un démarrage en temps de crise en 2020, le programme national Interlud devrait s’achever à la fin de l’année 2022 avec une cinquantaine de territoires engagés. Il représente une opportunité pour développer le secteur de la logistique fluviale urbaine et interurbaine.
Le conseil d’orientation des infrastructures (COI) a remis son rapport « bilan et perspectives des investissements » pour les infrastructures de transport le 16 mars 2022 au ministre chargé des Transports. Il y a eu une progression des investissements entre 2019 et 2022. Mais les besoins pour les 10 ans prochains sont estimés à 200 milliards d’euros, ce qui rend nécessaire une programmation.
L’attractivité des métiers du transport routier a fait l’objet d’une table ronde au congrès de la CFTC Transports au cours duquel le président Thierry Douine a été reconduit à la tête de ce syndicat.
Le calendrier des mesures du plan de relance du fret ferroviaire sera finalisé début 2021 pour une mise en œuvre dans l’année et en 2022. L’Association française du rail encourage l’État à présenter sa stratégie nationale en parallèle pour donner de la visibilité à la filière sur dix ans.
Le transport et la logistique sont totalement mobilisés depuis le début de la crise du coronavirus. Dans les entrepôts, sur la route, leurs salariés font chaque jour la démonstration que leur métier est indispensable aux besoins vitaux des consommateurs et que la filière est un maillon essentiel de l’économie. Retour sur les premiers jours qui ont ébranlé le secteur et point d’étape avec Alexis Degouy, délégué général de l’Union TLF.
Le transport et la logistique sont totalement mobilisés depuis le début de la crise du coronavirus Covid-21. Dans les entrepôts, sur la route, leurs salariés font chaque jour la démonstration que leur métier est indispensable aux besoins vitaux des consommateurs et que la filière est un maillon essentiel de l’économie. Retour sur les premiers jours qui ont ébranlé le secteur et point d’étape avec Alexis Degouy, délégué général de l’Union TLF.
Le transport et la logistique sont totalement mobilisés depuis le début de la crise du coronavirus Covid-21. Dans les entrepôts, sur la route, leurs salariés font chaque jour la démonstration que leur métier est indispensable aux besoins vitaux des consommateurs et que la filière est un maillon essentiel de l’économie. Retour sur les premiers jours qui ont ébranlé le secteur et point d’étape avec Alexis Degouy, délégué général de l’Union TLF.
Les services de la DGITM et les organisations professionnelles du transport et de la logistique ainsi que des filières agroalimentaires et de la distribution sont mobilisés face au Covid-19. Chaque jour, des réunions tentent d’identifier les points de blocage et de les lever.
Alors qu’une nouvelle opération "ports morts" se déroule depuis mercredi matin pour 72 heures dans les ports français à l’appel de la FNPD, l’Union maritime et fluviale de Marseille-Fos (UMF) a chiffré les pertes essuyées depuis le début du conflit. Celles-ci dépassent 100 M€, avec du chômage technique. Conteneurs, croisière, réparation navale et services aux navires sont affectés. Une cellule de crise a été instaurée et le préfet tiendra vendredi une réunion avec les professionnels lourdement touchés par ce conflit.